Parois verticales et surplombs exposés à modérément exposés de roche en place à l’entrée de ravins, tunnels et grottes, battus par les vagues et dominés par les éponges encroûtantes Halichondria panicea, Myxilla incrustans, Clathrina coriacea, Leucosolenia botryoides, Amphilectus fucorum (anciennement Esperiopsis fucorum) et Grantia compressa. Il peut aussi y avoir des agrégats denses des anthozoaires Sagartia elegans, Metridium senile nain, Alcyonium digitatum et Urticina felina, et une couverture dense de balanes Balanus crenatus sur la roche nue. On peut observer des agrégats denses de l’hydraire robuste Tubularia indivisa, qui croît à travers les éponges encroûtantes. Des ascidies coloniales telles que Polyclinum aurantium, Botryllus schlosseri, Botrylloides leachii et Aplidium nordmanni, de même que l’ascidie solitaire Dendrodoa grossularia peuvent aussi être présentes. Les échinodermes Asterias rubens, Echinus esculentus, Henricia sp., le crabe Cancer pagurus et le polychète tubicole Spirobranchus triqueter (anciennement Pomatoceros triqueter) peuvent aussi être présents sur les faces rocheuses, ainsi que des corallinales encroûtantes.